histoire

raconter des histoires inventées qu'on continura ensemble si vous le voulez Wink

Kumi,une jeune fille de 14 ans,entre en 4ème.Mais depuis quelque temps,elle a tout le temps sommeil et s'endort même en classe.Le pire,c'est qu'elle ne fait que des cauchemars et que ceux-ci se matérialisent durant son sommeil et terrorisent la ville toute entière!
Que se passe-t-il?Comment faire pour que tous ces phénomènes étranges s'arrête et que Kumi s'endorme enfin en paix?
(Suite...)

C'est une histoire à laquelle j'ai pensé il y a peu de temps mais j'avais peur qu'elle ne soit trop banale.J'ai envie d'écrire une histoire qui ne ressemble pas à toutes celles qui se vendent déjà dans les librairies^^

Voici une histoire assez longue(un devoir que je devais faire pour l'école):

L’ETINCELLE

Nous étions au mois de juin 3645. Par un soleil éblouissant que cet été m’accordait une fois encore en ce lieu si paisible, moi, Alice, 18 ans, je me trouvais juste sous le grand saule pleureur du lycée qui m’offrait l’une de ses places les plus fraîches et agréables du moment. Le dernier examen approchait. Je révisais une dernière fois mes cours de philosophie avec entrain et ardeur, me questionnant sur le sujet de l’examen, craignant de ne savoir répondre aux questions qui seraient posées. Sans que je m’en sois aperçue, l’heure avait tourné et l’horloge du lycée retentit : c’était la sonnerie. Alors que je frissonnais de crainte, le stress s’empara de tout mon corps. Je fis quelques pas et croisais le regard profond et mystérieux d’un jeune homme à fière allure, qui se nommait Pâris.

Pâris était l’un des plus brillants élèves de l’établissement, premier de sa classe, il était en outre beau comme le légendaire héros de Troie. Ses yeux marron foncés, pétillants de volonté, ses cheveux d’un brun intense et lumineux à la fois, son visage délicat et proportionné, faisaient émaner de tout son être un charme fou. Comme chaque jour, il arborait son uniforme de lycéen : chemise mal repassée, cravate dénouée et blazer négligemment jeté sur l’épaule lui donnaient un air rebelle de beau ténébreux et attiraient irrésistiblement les regards.

J’étais bouleversée par cette apparition, incapable de prononcer le moindre mot, comme hypnotisée. Mon cœur battait la chamade et je sentais une rougeur incontrôlable envahir tout mon être. Mes longs cheveux bruns envahissaient mon visage. J’affichais un sourire de façade pour tenter de contrôler mes peurs, de me redonner confiance. Je respirais un grand coup et redressais la tête. Mes cheveux fous laissaient maintenant place à un visage radieux et souriant. Malgré tout, je ne pouvais contrôler entièrement mon émotion. Ses yeux changèrent lorsqu’il constata mon bouleversement. Ils étaient devenus si doux qu’ils m’apportaient comme une paix intérieure. Il laissa échapper un soupir qui me donna une impression de légèreté. Son regard me rappelait celui de mon petit frère si souriant.

A cette pensée, mon regard s’embua. Je me remémorais le jour de sa tragique disparition. Nous étions orphelins. La directrice, une amie de ma grand-mère, nous avait recueillis et chaque jour elle s’acharnait à nous donner une solide éducation. Mon frère adorait le saule sous lequel je faisais tous mes devoirs. C’était l’endroit où, jadis, il lisait tous ses livres. Là, je pouvais me laisser aller à penser à lui et je revoyais le doux visage de cet enfant de 10 ans trop tôt disparu. Une imprudence, un chauffard : la vie à peine commencée s’était brutalement arrêtée. J’étais restée longtemps inconsolable jusqu’au jour où cette chère directrice m’avait enfin convaincue qu’il fallait vivre. Vivre pour moi, mais aussi pour lui et que, si je réussissais, là où il était désormais, il serait vraiment très heureux. Je devais maintenant vivre pour deux. C’était comme une « re-naissance ».

Quand Pâris se rendit compte de mon émoi, il comprit. Il se souvint que lors de son arrivée au lycée, trois ans plus tôt, on me surnommait encore : « l’écorchée vive ». Lui aussi, avant de venir ici, avait eu son lot de malheurs. Sa mère était internée dans un hôpital psychiatrique depuis la mort de son père lors d’une guerre sur la planète Mars en 3641. Depuis, il n’avait plus eu de contacts avec ses frères et sœurs car ces derniers se souciaient bien plus de l’héritage laissé par leur père (un trésor trouvé lors d’une expédition) que du sort de leur mère, devenue folle de chagrin en apprenant la mort de son mari.

Nous avions donc vécu des histoires dramatiques et similaires. Il sourit pour me réconforter. J’avais l’impression qu’il me prenait dans ses bras. C’est alors que je sentis comme une chaleur corporelle, comme une étincelle. Pourtant, tout nous séparait. Il avait décidé de poursuivre ses études pour devenir avocat et défendre les intérêts des enfants et des adolescents, qui, comme ceux actuellement accueillis dans notre lycée, avaient, pour la plupart, connu une enfance malheureuse. Moi, je voulais partir à la découverte des différentes planètes de notre système solaire. Nous tracerions donc chacun notre chemin. Mais nous savions désormais que cet endroit et ces années de vie commune resteraient pour toujours les meilleurs de tous nos souvenirs.

Il me tendit un mouchoir en guise de cadeau, comme un adieu. Il fit d’un seul coup très froid, comme si la réalité reprenait soudain le dessus sur notre rêve d’un instant, si court et pourtant si long. J’avais l’impression que nous avions défié le temps et l’espace, que plus rien ne nous étaient impossible. La réalité qui me rattrapa quand une de mes camarades me prit par la main et m’annonça : « Dépêches-toi, l’examen va commencer ! ». Je ne quittai pas le regard de Pâris. Quand, à son tour, il fut entraîné par son groupe d’amis pour retourner en cours, il soutint mon regard, il s’y agrippa de toutes ses forces. Je le vis. Je le sentis. Nous n’avions échangé aucun mot et pourtant nous nous étions tout dit. Nous avions partagé tellement de choses en si peu de temps. Nos vies en seraient à jamais bouleversées.

C'est une histoire vraiment très émouvante et captivante.J'en ai les larmes aux yeux(intérieurement) et vraiment,j'ai été touchée par cette histoire!!C'est pour cela que je meurs(lol^^)!!
C'est toi qui a écrit cela? C'est quoi comme genre de devoir?

c'est moi et c'est un devoir en français on devait écrire une histoire du m^me genre °>_<°

Elles sont vraiment bien vos deux histoires.

merci si tu as des idées fait les nous parvenir ^_0

D'accord.

Voilà, j'ai une idée, voici deux débuts de récits à vous de trouver une suite à l'histoire :
Le premier :
Une nuit de pleine lune, l'obscurité était au rendez-vous, le vent glacial me gelait et j'avais l'impression d'être dans le monde des ténèbres. Je me retourna et regarda la station de ski, quand tout à coup, j'entendis des hurlement effrayants provenir de la forêt.

Le deuxième :
Une très longue attente m'attendant, cette coupure d'ambiance était dû à la venue de l'assistante du directeur qui s'ondule comme une vipère dans le sable du désert, m'emmenant dans une pièce vide et étrange où la chaleur et la fraîcheur se mélaient et donnaient une sensation horrible et énervante. Je m'adossai à un mur qui ressemblait aux bosses de plusieurs chameaux, j'entendais des pas lents et rapides provenants de l'extérieur.

OUahh c'est superbe ,t'es trop fortiche dit donc ^_^

Merci.

J'aime beaucoup comment tu écris ^^"

Merci. J'aime bien aussi la façon dont tu écris.

Une nuit de pleine lune, l'obscurité était au rendez-vous, le vent glacial me gelait et j'avais l'impression d'être dans le monde des ténèbres. Je me retourna et regarda la station de ski, quand tout à coup, j'entendis des hurlement effrayants provenir de la forêt.

Suite
Qu'est-ce-que c'était?J'avais peur ,je voulais m'enfuir mais mon corps ne m'obéissait plus.J'était pétrifiée sur place.Et toujours ces hurlements incessants,qui soudain s'approchèrent à vitesse alarmante!Une ombre se profila à travers les arbres et se dirigèrent dangeureusement vers moi...
L'ombre se fit plus clair,la courbe de son corps se dessinait et je vis...un loup!
Son pelage gris était taché de sang,et son pas était frêle.La fatigue et ses blessures eurent raison de lui et le loup s'écrasa au sol.
N'écoutant que mon coeur,je m'approcha lentement et sûrement de l'animal.Visiblement,il s'était bagarré et était gravement blessé.Alors je pris une couverture dans mon sac à dos et l'en recouvris.En rentrant au chalet,j'ai tout de suite alerté mes parents qui ont aussitôt accouru avec le camion vers le loup et l'ont transporté jusqu'au chalet.Ils lui ont donné à boire,à manger,et l'ont soigné.Ce n'était pas bien grave.Le loup ne nous a à aucun moment montré des signes d'énervement ou de prédateur,il était plutôt reconnaissant et calme!
Quand il fut guéri,il retourna dans la forêt et je ne le revis plus jamais.
Mais depuis,toutes les nuits de Pleine Lune,j'entends des hurlements.

Elle est bien ta suite.

Bein joué ashura ^_^

Super! ^^

et oui ashuira a toujoures de bonne idée !:!!

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